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Courrier des lecteurs

Claude Bernard (1813-1878) : entre génie et névrose


Par F Paulus - Publié le Mardi 25 Juillet 2023 à 09:36

L’œuvre du docteur-chercheur-expérimentaliste Claude BERNARD pourrait être illustrée par un ensemble de pierres empiriquement posées permettant de franchir le torrent tumultueux de la vie. Celle-ci émergerait initialement de minuscules et invisibles particules élémentaires s’agrégeant et donnant, sur plusieurs milliards d’années d’évolution, une multitude de formes vivantes dont nous les humains.

En tant que médecin, sa voie professionnelle s’est trouvée socialement prédéterminée puisqu’il fit toute sa carrière comme assistant de François MAGENDIE (1783 – 1855) également médecin et physiologiste au Collège de France, dans un laboratoire des plus vétuste, sans vraiment confronter ses découvertes au verdict de la clinique.

Dix-huit volumes rassemblent ses travaux au sein de son laboratoire et de la faculté de médecine de Paris, deux ouvrages les complètent. Le premier fut assemblé lors de deux années « sabbatiques » pourrait-on dire de nos jours : « Introduction à l’étude de la médecine expérimentale » (1), alors que Claude BERNARD était quelque peu dépressif. Le second, pensé antérieurement, sera publié seulement en 1947 sous le titre : « Principe de médecine expérimentale ». Il aurait été plus juste de limiter son propos avec le titre de : « Eléments de biologie expérimentale déduits de modèles animaux ».

Au-delà des caractéristiques exceptionnelles en force de travail de cet homme, la première critique fut de reconnaître que n’étudier l’humain qu’à partir d’une multitude d’animaux de laboratoire ne pouvait conduire qu’à un déficit informatif, voire à des impasses méthodologiques et épistémologiques, dirions-nous avec Gaston BACHELARD, concernant la transposition de ses travaux chez l’Humain.

Dès 1987, la publication de notre premier essai (2) évoquait les carences de la recherche analytique héritière, en grande partie en France, de Claude BERNARD : « Mais d'abord parlons biologie. Pour ce faire, il est fréquent de partir de la cellule et de la théorie cellulaire ». Autrefois, on aurait dit que « la cellule est la pièce fondamentale des organismes » et que les tissus sont des assemblages de cellules. On aurait pu entendre aussi que « les fonctions d'un organe ne sont que la somme des fonctions cellulaires élémentaires qui le constituent ». Ces conceptions dépassées peuvent persister encore dans nos esprits. L'évolution des techniques a permis d'aborder l'étude de la cellule sous des angles multiples, la morphologie, la biochimie, la biophysique. Grâce à cette hyperspécialisation, on a pu accumuler une somme considérable de connaissances sur la cellule. Mais une approche descriptive (cytologique) ne permet pas d'établir de synthèse entre la cellule et les organes, les systèmes endocrinien, circulatoire, respiratoire ou nerveux.

« Pour considérer les relations qui unissent la molécule et l'organisme tout entier, c'est-à-dire l'infiniment petit et l'infiniment grand et complexe, il faudrait établir une synthèse que l'hyperspécialisation ne permet pas », in F. Paulus, (1987 et 2007).

Dès que nous formulons des critiques, nous serions enclins à flatter le mérite de cet homme. Au titre de cette reconnaissance nous pourrions, par empathie, penser au quotidien peu heureux en ménage et foncièrement très imprégné de culture rurale paysanne de ce chercheur qui reconnaissait se ressourcer dans sa campagne à Saint-Julien près de Villefranche-sur-Saône dans le Beaujolais.
Sans parler de « névrose de classe », nous pourrions évoquer objectivement « un syndrome dépressif » où se mêleraient de fréquentes « somatisations » du type rhino-pharyngées à rechute et entérites chroniques. Et cela tout en étant créatif puisque durant ces deux années, dans sa campagne, il rassembla son œuvre « princeps » de « l’introduction ». Selon le pédiatre Pierre DEBRAY – RITZEN, auteur d’une bibliographie de BERNARD (2), le grand physiologiste évoquait « le mythe de Sisyphe », héros auquel il s’identifiait tout en retrouvant inlassablement le laboratoire malgré le mal-être ressenti !

Pour la présentation de nos développements futurs, nous lui sommes redevables de son exploration du système parasympathique en balancements ou oppositions avec le système sympathique.

« Cela lui fit reprendre, nous dit DEBRAY-RITZEN (3), une expérience ancienne (1727) sur la section du cordon sympathique dans la région du cou. On avait constaté à sa suite une contraction de la pupille. Claude Bernard s’aperçut que celle-ci s’accompagne de plus d’une dilatation considérable de tous les vaisseaux de la région, particulièrement constatable sur l’oreille du lapin avec augmentation correspondante de la température. Lorsque, à l’inverse, on excite le bout supérieur du nerf sympathique sectionné, les vaisseaux se contractent en reprenant leur calibre et leur tonicité habituels.

On pouvait en conclure que le système musculaire des petits vaisseaux artériels est animé par le système sympathique qui, présidant à la contraction de ces vaisseaux, est vasoconstricteur (sa section entraîne par conséquent une vasodilatation, son excitation électrique une vasoconstriction) ».
 
Avant Claude BERNARD étaient évoquées les lois de l’hydraulique pour rendre compte de la physiologie sanguine selon des visions purement mécaniques.

« L’exemple le plus frappant, écrit encore DEBRAY -RITZEN, est celui de cette action des nerfs sur les vaisseaux et celui de la pâleur subite ou de la rougeur de la face sous l’influence des émotions », p. 72, 1992.

Pour terminer ce rappel historique nécessaire en vue d’une émancipation transdisciplinaire des sciences du vivant (que nous recherchons), nous relevons le préambule du chapitre II de « l’Introduction à l’étude de la médecine expérimentale », p. 73, in : (1).
Pour Claude BERNARD, « chaque homme se fait de prime abord des idées sur ce qu’il voit, et il est porté à interpréter les phénomènes de la nature par anticipation, avant de les connaître par expérience. L’homme est naturellement métaphysicien et orgueilleux, il a pu croire que les créations idéales de son esprit qui correspondent à ses sentiments représentaient aussi la réalité. D’où il suit que la méthode expérimentale n’est point primitive et naturelle à l’homme et que ce n’est qu’après avoir erré longtemps dans les discussions théologiques et scolastiques qu’il a fini par reconnaître la stérilité de ses efforts dans cette voie ».

Dévalorisant la perception chez l’humain (il ne fut pas le seul) comme sources de connaissances, ainsi, Claude BERNARD aura réduit son modèle à une approche physico-chimique des tissus et des organes et fonctions d’organismes animaux de laboratoire en spéculant des similitudes chez l’humain et montré la voie pour une dissection du vivant qui deviendra un dogme excluant les émotions et les sensations des animaux et des humains. L’exploration de la vie inconsciente chez l’humain se trouvait occultée, comme impensable.

Nous verrons que si l’être humain et même les animaux devaient s’individuer (hypothèse future), ils ne devraient pas être assimilés à des « objets » disjoints parce que disséqués et encore moins dépourvus de sensibilité et de mémoire.
N’anticipons pas et montrons-nous reconnaissant des apports de cet illustre précurseur des sciences médicales.
 
Nos références
  1. Claude BERNARD, Introduction à l’étude de la médecine expérimentale, Champs classiques, 1984 – 2008.
  2. Frédéric PAULUS, « La santé et les besoins essentiels de l’enfant », Ed Empirika, 1987, réédité avec le titre : « L’éducation fondée sur les sensations », Ed Le Printemps, Maurice, 2007.
  3. Pierre DEBRAY-RITZEN, « Claude BERNARD ou un nouvel état de l’humaine raison », Ed Albin Michel, 1992.




1.Posté par Apax le 25/07/2023 14:51

J'ai du mal à vous suivre, c'est précisément en réduisant "son modèle à une approche physico-chimique des tissus et des organes et fonctions d’organismes animaux de laboratoire en spéculant des similitudes chez l’humain" qu'il mit au jour la fonction glycogénique du foie chez le lapin et partant chez les humains et en cela il ne fit qu'appliquer l'antique formule : nihil est sine ratione" (rien n'est sans raison) de Leibniz et Descartes. Mais là encore s'agit-il de bien distinguer le rationnel de l'irrationnel ce qui ne semble pas le cas dans votre propos. En quoi ses petits malheurs ont-ils influés sur ses recherches, quand précisément des dizaines de milliers de ses contemporains ont dû vivre des situations comparables ? Ce qui importe ce n'est pas d'où il parle, mais ce qu'il dit et fait que l'on doit discuter et critiquer.

2.Posté par Paulus le 25/07/2023 15:20

Merci « Apax »,
Ce que je ressens me guide dans la compréhension (globale) du monde. L'analytique du monde peut me mettre sur la voie et me fourvoyer.
Comment expliquez vous que dans les sociétés modernes les les budgets consacrés à la santé et aux maladies augmentent du façon exponentielle alors que la morbidité humaine se constate à chaque coin de rue ?
Frédéric Paulus

3.Posté par Apax le 25/07/2023 16:29

Il faut je crois s'interroger sur le contexte de ces sociétés dites "modernes" dans lesquelles les maladies qui progressent sont structurellement liées à l'état de déliquescence à tous les niveaux : physique, psychique, écologique, etc.. Nous sommes submergés par ces nouvelles maladies telles que le diabète sucré, les troubles du comportement, les AVC, l'artériosclérose, les maladies du cœur, l'hypertension, les cirrhoses du foie et les maladies congénitales, sans oublier les grand fléaux des temps modernes : la toxicomanie aux médocs (notamment le fentanyl) et l'alcoolisme dont les ravages sont chaque année plus tragique. Quant aux maladies respiratoires, elles n'offrent plus l'image d'un simple progrès, mais d'une véritable explosion, tout comme le pire des fléaux : le cancer. Et à mon humble avis, il n'existe pas de médecine qui soit capable de garantir notre survie au milieu d'une fosse sceptique. Tout le problème aujourd'hui, c'est que l'on attribue aux obstacles sur le chemin, l'horreur que l'on a du but auquel il nous mènera. Vous l'aurez compris, les budgets peuvent bien être exponentiels, cela ne changera rien à l'affaire.

4.Posté par Paulus le 25/07/2023 17:07

A Apax.
Je suis bien d’accord avec vous. Sans restriction.
Il nous faudrait nous libérer de théories mystificatrices et retrouver la vraie logique de la vie, qui devrait être de vivre.

Et l’organisation capitaliste comme communiste nous auront manipulés en nous submergeant de leurs idéologies respectives.

Quant aux scientifiques quels sont ceux qui avec humilité avancent des données fiables sans arrière pensée égotique ? : Henri Laborit, Rosine Chandebois, Louis Benoist, ce dernier, je viens de le découvrir avec son « Que sais-je » : Signes, symboles et mythes. Il étudie : « ce qui se dresse entre la chose et l’idée : le symbole » Ce que nos très lointains ancêtres devaient peut être percevoir-ressentir, le symbole, avant que le langage parlé et articulé n’ait envahi nos esprits… et peut être même nos cœurs !?
Au plaisir.
F Paulus

5.Posté par A mon avis le 25/07/2023 20:57

@ 4.Posté par Paulus
" Quant aux scientifiques quels sont ceux qui avec humilité avancent des données fiables sans arrière pensée égotique ? "

Je ne sais pas si on peut vous classer dans les scientifiques, mais pour ce qui est de l'égotisme, vos billets l’illustrent parfaitement !

6.Posté par A mon avis le 25/07/2023 21:24

@ 3.Posté par Apax
Votre vision apocalyptique de notre situation est malheureusement bien réelle.
ET au lieu de modifier les causes (s'il était encore temps) causes pourtant connues et même reconnues, on s'évertue à chercher des solutions et des remèdes pour en atténuer les conséquences. Excellent moteur économique !

On constate chaque jour la dégradation de plus en plus perceptible de nos milieux de vie (à l'échelle planétaire). On fait des rapports, des conférences, des colloques et autres réunions internationales. Et vogue la galère ! ... jusqu'au naufrage ...

7.Posté par Paulus le 26/07/2023 00:29

A « à mon avis ».
Merci de me lire et de me dire où se trouvent les « illustrations de l’égotisme » selon vos perceptions ?
FP

8.Posté par A mon avis le 26/07/2023 12:07

@ 7. Paulus

ÉGOTISME, n. m.
♦ Tendance marquée à faire référence à soi,

(Le Littré)

9.Posté par Paulus le 26/07/2023 12:33

A « à mon avis »
Une référence plus fiable au recours aux rats de laboratoire ! Alors !

10.Posté par Paulus le 26/07/2023 12:34

A « à mon avis »
Une référence plus fiable au recours aux rats de laboratoire ! Alors !

11.Posté par Paulus le 28/07/2023 14:04

Chers contributeurs :
François Jacob disait dans son ouvrage : « Le jeu des possibles » (de mémoire) : « Nous avons besoin autant besoin d’imaginaire que de réalité ».
Le cerveau humain baigne effectivement dans un environnement (physique et … symbolique) comme ceux des autres mammifères, sauf que ceux-ci sont dépourvus des capacités de mettre des mots (symboles) sur les images de ce que nous avons nommés : « rêves » qui résulteraient chez l’humain d’un traitement inconscient de l’information perceptive qui opérerait pendant le sommeil, donc à notre insu.

La pulsion téléo-sémantique humaine (innée - acquise) résulterait de ce « traitement », sujet déjà abordé dans vos colonnes, merci). Freud nous aura orientés et égarés vers son approche alors que nous pourrions envisager cette fonction comme existante bien avant l’apparition du langage parlé et articulé, qui nous aura apporté des facilités de communication et bien des turpitudes et l’accès au x mensonges et aux mystifications. Bref !
Les réunionnais disent souvent : « j’ai entendu ton discours ».

Le cerveau traiterait de ce fait l’information perceptive selon une temporalité différente qu’immédiate et par cela par mosaïque d’images vue la polysémie de sens des images-symboles.
C’est pour cela que C. G JUNG disait qu’il fallait étudier une SERIE de rêves, pour en dégager le sens, en fonction de l’histoire du rêveur, ce que les chercheurs en labo semblent (toujours) ignorer !?
À plus tard pour des disputes constructives.
Frédéric Paulus.

12.Posté par O.M le 30/07/2023 07:21

L'obsession contre le langage qui est utilisé en plus par les obsédés devient très inquiétante, sûrement à cause d'un critère psychopathologique appelé "maladie du siècle " casé comme on veut par qui veut et encore plus par le psy lui même des fois.
Le langage existe et fait partie de nos capacités sinon impossible tout simplement.
Le scientifique comme d'autres l'utilise pour transmettre avec les défauts du canal de communication (bruits qu'ils disent ou "téléphone arabe" pour d'autres) mais là où c'est fort c'est que même si le récepteur n'est exactement pas le même que l'émetteur il arrive quand même à comprendre quelque chose et des fois pas. Le pire, comme pour la science qui prendra plus de 4 milliards d'années des fois, c'est que ça dépend du temps mais du moment qu'on y croit et qu'on arrive à convaincre le tour est joué.
La réalité du laboratoire permet des choses c'est sûr mais en dehors du laboratoire et même avant le laboratoire il y a aussi d'autres choses bien réelles qui même font qu'on utilise un langage pour reformater l'avant pour devenir laborantin(on ne nait et reste pas sinon c'est une jouissance non?).
Après je suis persuadé que certains dans les conditions du "réel " qu'on sait pas mais désigné par un mot imposé à la masse(demandez à l'aAcadémie Française à qui ils ont recours pour déterminer la sens des mots) sont capables de demander à un muet de ne pas parler. Quant au critère du "toujours dans le calcul ", la question ne se pose même pas puisque pour certains si vous savez compter (1+1=2 etc...) c'est ça, si, si!
Mieux: le langagier n'est pas sensé être détectable également pourtant on en parle. Il faut m'expliquer...

Pratique: un médecin dit psychiatre ou une cadre (in)hospitalière qui raconte ce qu'il veut dans un dossier ou imite mon écriture parcequ'ils se font dessus en dehors d'un laboratoire il y a quelqu'un qui a réussi à le constater ou pas? Mon alcoolisme ou mes caris trop gras proclamés par les observateurs, c'est vraiment prouvé ?
Si je demande l'internement de ces observateurs qui rira?
Le miroir non denaturant(jusqu'à ce qu'il parle) de Blanche Neige, la reine en a fait ce qu'elle voulait, le prince il l'a pas vu(Lacan au secours!), Blanche Neige non plus(troublant), Narcisse est resté figé devant et à la fin Blanche Neige qui a survécu est devenue reine et ainsi de suite à mon avis.
Symboliquement d'après Freud, le stade(amassement de pensée unique collective) du langage intervient après d'autres, limite si on dirait langue=âge, confirmé par un psychologue qui lors d'un test m'a dit que c'est la maturité. La aussi, on voit et fait ce qu'on veut à mon avis.
Purée qu'est ce que j'utilise la langage sur internet et beaucoup plus qu'avant et encore plus fou, sur d'autres sujets. Incroyable!!(ben oui il faut lutter contre les croyances donc me croivez pas...)

PS: je ne suis pas un Dieu même si on a déjà dit en me voyant "mon dieu"(merci mes disciples de me reconnaître) alors ne venez pas causer fort à côté de moi au nom de la lutte finale!(du communiste imposé ?)

13.Posté par Paulus le 30/07/2023 14:20

A OM de F Paulus
Je ne sais quoi vous dire, peut-être, si par bonheur, vous deviez vous souvenir de vos rêves, ils seraient guidés selon mes intuitions et constatations cliniques par des fonctions (donc inscrites dans le corps) qui se manifesteraient en images pouvant vous guider, et cela à votre insu et pas nécessairement pour vous jouer des tours ! Une sorte de « guide intérieur ». Enfin je crois, en ayant tout de même des arguments… cliniques, ceux-là qui manquent aux chercheurs en labo.
Amitié.
Frederic Paulus

14.Posté par O.M le 30/07/2023 15:18

@13.Posté par Paulus le 30/07/2023 14:20

"A OM de F Paulus" vous ne seriez pas militaire par hasard, ça me rappelle mes rondes pendant le service militaire.

Sinon: https://youtu.be/aq1zjqXtiPQ

15.Posté par O.M le 30/07/2023 19:55

Je vais persister un peu parceque je n'ai eue ça à faire. Vous savez qu'à l'IFSI en cours de communication le formateur (au passage trouver la formule de remuneration de commerciaux rien qu'avec le CA et le salaire sans proportionnalité directe ni d'autres éléments, je ne suis pas arrivé à le faire)
disait que l'homme était un cueilleur(sûrement un vegan) et bien sûr les scientifiques ont cliniquement prouvé que les silex etc... étaient créés pour cueillir les mangues, les patates, les carottes et bien sûr la pomme en l'air(on ne nous dit pas tout!).
Plus loin encore, ma prof de philosophie au lycée refusait de croire que l'homme descend du singe. Je ne peux pas lui apporter la preuve certaine mais d'après la science ce serait le cas. Du coup, la remise en cause fait que je dois dire oui à tout ou alors il faut prendre un parti ou encore faire comme le psy et dire j'en sais rien je suis dans le réel mais la maladie est universelle prenez tous vos médicaments?
Je prend ma décision, l'un comme l'autre et y compris moi des fois on a raison, des fois non et des fois on sait pas et quand il y a hic on fait ce qu'il faut pour résoudre. Mais le hic c'est qu'ils y croient et ont confiance en eux et ça devient dangereux pour moi mais pas pour eux puisqu'ils ne doutent pas.

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